Auxillac - et les cafés d'antan.
Au début du siècle dernier on comptait au village quatre cafés, ces auberges étaient mentionnés sur les Bottins, (le célèbre Bottin Didot), parmi les noms retenus Maurizy, Astruc, (Finoune), la Réjounette, et Mélanie Védrines, (lo Védrinésso)
Puis plus tard les deux derniers cafés dont les gens de ma génération se souviennent, celui de la Vve Arnal, et de son fils Elie (Lili et Simone), qui prit la suite, sans oublier Mme Lacas (Rosinette) puis Auguste son fils, plus connu parmi les anciens Auxillacois sous le nom de Gustète.
Ci contre sur cette vieille carte photo datant de 1934, le café de Mélanie, (j'ai bien connu cette dame) situé à l'entrée du village, près du monument aux morts, on y voit au dessus de la porte l'enseigne café, mais aussi deux plaques émaillées, pub d'un célèbre apéritif, et pour une célèbre banque, qui d'ailleurs existe encore de nos jours.
c'est ce qu'on appel le café du coin cela existe encore dans les villages (hameau ) dans la creuse comme tu le fait remarquer le crédit lyonnais existe encore avec le raccourci L C L
RépondreSupprimerjeannot
Merci pour le commentaire
RépondreSupprimerEt oui Jeannot, au début du siècle dernier il y en avait des cafés dans tous les villages, presque à tous les coins de rue, beaucoup moins maintenant, et autrefois beaucoup moins de choix dans les breuvages, lol !!!
Je ne vois pas où peut être ce café.
RépondreSupprimerEn réponse à Guy
RépondreSupprimerCette maison n'existe plus elle a été démolie et reconstruite dans les années cinquante, comme je le précise dans le sujet ce café était à l'entrée du village près de la place du monument, en face de la croix de mission, quand à Esther Vieilledent cela m'étonne que tu l'ais pas connue , on la voyait souvent sur le pas de sa porte, et aussi à discuter aux lavoirs du ruisseau.
Ah mais oui, c'est la maison du monument, je le reconnaissais pas c'est normal si elle a été refaite. Je les ai bien connu tous les deux en effet, il venait parfois voir ma grand-mère et après on allait parfois boire le café chez Esther au monument.
SupprimerJe pense d'ailleurs que c'est de là qu'est née l'histoire de la chèvre blanche, le cafetier en avait marre du soulographe de Correjeac, et je pense qu'il s'agit, si j'ai bien compris, de ce cafetier.
Merci Gérard pour ce partage très émouvant amitié 😀😀😀
RépondreSupprimerBonjour
SupprimerMerci à vous Melle Nano pour votre commentaire, c'est toujours beaucoup de plaisir pour moi, cela m'encourage à poursuivre !
@ bientôt sur mon blog