Au lendemain de la seconde guerre, le nouveau gouvernement en place décidait après un vote à l'assemblée de créer L'Epic, Electricité de France.
Sur proposition du ministre de l'industrie, M Marcel Paul décidait de la nationalisation des 1450 entreprises de production et de distribution d'énergie, loi du 8 Avril 1946
Sur le bottin de 1942, on y apprend que pour notre département de la Lozère il y avait alors 21 concessionnaires de distribution, (CD) on y relève que notre commune d'Auxillac (qui avait été électrifiée en 1931) dépendait pour sa distribution de la société Lozérienne d'énergie électrique de Mende, (CD n°13).
22 févr. 2017
19 févr. 2017
En gare de St Rome de Cernon
Sur la ligne des Causses, avant l'électrification de la ligne, la traction des trains était assurée avec des machines à vapeur, avec plusieurs types de machines, 141 TA, 230 A, 230 T, 240 T, suivant que c'était pour assurer des express, des marchandises, ou des trains mixtes.
Ci contre vers 1920, (sur cette carte postale) ce jour là une 240 T, série 4500, en tête d'un train mixte, marque l'arrêt en gare de St Rome de Cernon (Aveyron).
Ci contre vers 1920, (sur cette carte postale) ce jour là une 240 T, série 4500, en tête d'un train mixte, marque l'arrêt en gare de St Rome de Cernon (Aveyron).
2 févr. 2017
Au village autrefois
Corréjac autrefois
Il me semble que c'était hier et pourtant ces photos ont au moins soixante ans,
Si je publie aujourd'hui ces images, c'est en hommage et en souvenir de Marius et Germaine P, des personnes qui ont marqué ma jeunesse, et ma mémoire .
Ce couple de petits petits paysans vivaient humblement, Marius P travaillait ses terres encore comme l'avaient fait ses parents, ses grands parents, avec sa paire de vaches, le labour s'effectuait à la charrue, après les foins rentrés, c'était le temps de la moisson, Marius n'avait pas de batteuse, et c'était encore les vaches qui lui servaient dans la cour, (laïro en Lozérien) on appelait ça faire la caoucado, il fallait disposer les gerbes et faire tourner les vaches afin de séparé le blé, et l'avoine, de la paille, ensuite il fallait ramasser le grain dans des paillassons, et le passer au ventaïré.
Il me semble que c'était hier et pourtant ces photos ont au moins soixante ans,
Si je publie aujourd'hui ces images, c'est en hommage et en souvenir de Marius et Germaine P, des personnes qui ont marqué ma jeunesse, et ma mémoire .
Ce couple de petits petits paysans vivaient humblement, Marius P travaillait ses terres encore comme l'avaient fait ses parents, ses grands parents, avec sa paire de vaches, le labour s'effectuait à la charrue, après les foins rentrés, c'était le temps de la moisson, Marius n'avait pas de batteuse, et c'était encore les vaches qui lui servaient dans la cour, (laïro en Lozérien) on appelait ça faire la caoucado, il fallait disposer les gerbes et faire tourner les vaches afin de séparé le blé, et l'avoine, de la paille, ensuite il fallait ramasser le grain dans des paillassons, et le passer au ventaïré.
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