La région, fait tout pour promouvoir le train, notre ligne Lozérienne de Marvejols à Mende, jusqu'à La Bastide St Laurent les Bains, bénéficie du Ter à 1euro, (cela depuis Juin dernier) c'est vraiment intéressant, souhaitons que cette opération réussisse, afin de maintenir nos lignes, qui en ont bien besoin !
A quand la même opération sur la ligne des Causses, et du Cévenol .....?
Sur la relation de Marvejols à Mende, un Ter (de la mi journée) aux belles couleurs de la région Languedoc-Roussillon, vient de passer l'ancienne petite halte de Chirac (Lozère).
C'était en Octobre 2009
Certes mais encore faut-il relever les vitesses !
RépondreSupprimerMême entre La Bastide et Belvezet refait à neuf je ne sais pas si cela à amélioré les vitesse...
De plus après cette section refaite en 2010, l'autre partie entre Belvezet et Mende n'a pas attaqué alors quelle était prévu pour l'été 2012 !...
BRAVO POUR CE SITE SINON
l'argent mis par la région et RFF sur environ la moitié du parcours entre Mende et La Bastide constitue un engagement à ne pas fermer la ligne durant quelques décennies; si la vitesse n'a pas augmenté, le confort est sérieusement amélioré. Le chantier ne s'est pas poursuivi au vu de son coût exorbitant; la méthode employée pour renouveler la voie et le ballast n'était pas la bonne; on peut citer l'exemple du transport du ballast par camions! une aberration! Je me permets de critiquer en tant qu'ancien ingénieur SNCF en retraite, chargé des gros chantiers sur plusieurs régions. Avec coupure totale de la circulation, ce chantier réunissait toutes les facilités d'exécution.
RépondreSupprimerLa section suivante Belvezet- Larzalier-Allenc aurait dû être réalisée en premier pour plusieurs raisons: augmentation immédiate de la vitesse à 120 entre Belvezet et la galerie de Larzalier qui est déjà en rails soudés, économie d'entretien, sécurisation sur cette partie la plus enneigée par la disparition des "coins" de la voie type"DC". J'avais personnellement rédigé une étude précise à la section de Marvejols lorsque j'y étais chef d'établissement en 1984. c'est avec une amertume non dissimulée que j'ai vu faire "n'importe quoi", et qui se retourne aujourd'hui contre les lozériens!