Nos laboureurs étaient aux champs du lever du jour jusqu'au coucher du soleil, aussi quand les douze coups de midi sonnaient au clocher du village, le fermier et ses bouviers plantaient avec plaisir l'aiguillon en terre le temps du repas, le casse-croûte était souvent amené par la maîtresse de maison, ainsi elle partageait un moment avec eux.
ils vivaient avec la nature la vie etait trés dure mais finalement moins stressés que nous
RépondreSupprimerjeannot