Qui a connu le bar des Sportifs chez Jeannot Privat , la quincaillerie Basile Cordesse, la Pharmacie Delmas, et chez Tabaries !
Souvenez vous : au bon Accueil, " chez Basillou " on trouve de tout !
C'est tout une époque résumée ici sur cette vieille carte postale
je n'ai pas connu ces lieux mais j'en ai connu a orléans et ailleurs il en existe encore mais ils se font trés rares dans ceux qui existent comme molveau depigny a orléans quincallerie ou tu trouve encore au détail visseries et autres appartient au groupe leroy merlin va fermer finalement dés qu'ils se font acheter par ces groupes (financiers) c'est pour etre détruits
RépondreSupprimerMerci Jeannot pour ton commentaire
SupprimerSalut Gégé,
RépondreSupprimerBasile avait repris en 1935 "Au bon accueil". et avait ensuite déménagé le magasin au Pré-Commun fin des années 70 à coté du garage Maury.
Avant, il était tenu par Cavalier, dit "le Gendre" qui avait fait faire le panneau au bon accueil avec un cavalier au centre. Sa belle famille les Fages et propriétaires du magasin ne voulaient pas que son nom soit sur le panneau.
JL
Bonjour Jean Louis
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire, et ces précisions intéressantes, surtout sur l'histoire de panneau publicitaire, je me souviens bien du premier magasin, où il fallait gravir les escaliers pour y accéder, le magasin était tout en longueur un peu à l'étroit, surtout avec toute cette marchandise, je me souviens aussi du deuxième magasin, maintenant il y une fleuriste, c'est chez Julie
Bonjour
RépondreSupprimerLa fleuriste a fermé cet automne, le magasin de Basile est à nouveau vide. Basile connaissait un à un tous ses tiroirs et aimait bien servir son client, quitte à faire courir son épouse Adeline dans tous les sens...Elle bougonnait, mais s'exécutait.
Pour la petite histoire, Adeline petite fille tenait la traine de la robe de mariée de Céleste Albaret (née Gineste)
Le couple Cordesse était particulièrement attachant et la voix forte de Basile résonne encore dans le grenier de mes souvenirs.
Merci Guy pour le commentaire, il y aurait plein d'anecdotes à raconter sur Basillou, je me souviens lui avoir acheté un couteau Laguiole, et un bouffadou, et en partant il m'avait dit " en patois " en plaisantant " E aro bouffo li à lail, traduction : Et maintenant souffle lui là bas.
Supprimersalut gégé
RépondreSupprimereh bien tu vois finalement je tire la conclusion que le commerce a dimension du quartier ou du village et beaucoup plus humain que les grands centres commerciaux anonymes
jeannot
Mais bien sur Jeannot, j'en ai jamais douté, hélas les commerces de quartier ou de village il n'en reste plus beaucoup, bientôt plus que des souvenirs
SupprimerJ'ai tout connu, Coste et Juliaguet en rue Neuve et la quincaillerie aussi !
RépondreSupprimerBonsoir
SupprimerMerci pour les commentaires, et oui moi aussi connu tous ces commerces, et ces personnes citées, qui hélas nous ont quitté !