Parmi ceux qui échappèrent à la mort ils revinrent pour certains défigurés, mutilés et marqués à vie.
Sur cette carte postale écrite début Août 1914 de Mende du 142eme RI, un soldat écrit à sa famille pour lui dire que le régiment est prêt à partir (le 5 Août) pour une destination inconnue, le 14 Août nos soldats étaient déja sur le front, près de Mirecourt dans les Vosges.
C'est super de penser à ces pauvres gars qui ont vécu la première grande barbarie du vingtième siècle. J'ai aussi une pensée pour les fusillés de Craonne.
RépondreSupprimerLe 25 mars à 20 heures il y aura une lecture publique à l'Auberge du Moulin des lettres que des familles auxillacoises auraient pu retrouver, d'un texte des "poilus pas morts" ou a participé Pascaline Granjean, et des textes de Guy Lévêque sur le monument d'Auxillac. Les personnes qui ont des témoignages intéressants peuvent me les transmettre