Un Quincailler célèbre de notre petite Venise Lozèrienne, était dépositaire de la célèbre Pile Wonder.
La Maison Cordesse (dit chez Basillou, on trouve de tout) offrait un temps à ses clients, (ayant des enfants en age scolaire) ce joli protège-cahier publicitaire.
Tu connais le dicton Gérard.
RépondreSupprimerLa pile wonder ne s'use que si l'on s'en sert...
@+ cyril
J'ai le meilleur souvenir de Basile Cordesse et de son épouse Adeline. Ces gens là étaient délicieux, disponibles jusqu'à l’extrême.
RépondreSupprimerCet homme, qu'enfant nous considérions comme un géant, avait un accent délicieux et roulait plus de rrrr que le lot de roule de galets...
Mais nous parlons d'un temps révolu ou l'acte de commerce était un échange humain, qui allait jusqu'à la tasse de café dans l'arrière boutique. On arrivait là avec des préoccupations, et on en repartait avec des solutions, la voix mélodieuse de Basile et le joli sourire d'Adeline.
Penser à eux, c'est retrouver le gout de cette enfance ou le temps passait doucement, et où l'on se disait que la vie n'était pas forcément une succession de problèmes puisque des hommes comme Basile savaient toujours y apporter une solution, et quand ils ne pouvaient pas, ils avaient toujours une suggestion pour faire évoluer notre demande.
Je me souviens du bric à brac de son magasin, de l'escabeau qu'il déplaçait pour atteindre tel ou tel rayon...C'était un commerçant, un vrai, un pur. Merci monsieur Cordesse.